De ses baisers il me reste , à chaque fois, le feu aux joues et la marque rouge de sa bouche sur mon front, comme petite une morsure d'amour
j'avais hissé un drapeau imaginaire, flottant dans le ciel au milieu des hirondelles, j avais imaginé un étendard cousu d'or et de lumières pour un pays qui n'existerait jamais.
Publié le 29 Septembre 2011 par joe Bassin
De ses baisers il me reste , à chaque fois, le feu aux joues et la marque rouge de sa bouche sur mon front, comme petite une morsure d'amour
Publié le 29 Septembre 2011 par joe Bassin
Il y avait entre nous de longs moments de silence . Des bouderies interminables et surtout des nuits frénétiques offertes au ciel et aux étoiles,les pattes en l'air , la tête à l'envers.
Publié le 27 Septembre 2011 par joe Bassin
Assise au bord de sa vie, elle croyait encore au miracle du lendemain, à la force du destin et à la beauté du petit matin
Publié le 27 Septembre 2011 par joe Bassin
Petits naufragés romantiques, amoureux transis, solitaires endurcis. Monde tragique.
Publié le 26 Septembre 2011 par joe Bassin
je sens aujourd'hui frémir depuis que j'ai dilapidé mes souvenirs
Publié le 25 Septembre 2011 par joe Bassin
Une petite flamme certains soirs ravive l'espoir bascule le noir
Publié le 24 Septembre 2011 par joe Bassin
Prisonnière d'un petite cellule froide et sombre, érigée par tant de certitudes et de vaines croyances , tu ne vois jamais les rayons du soleil et les oiseaux osant venir te visiter
Publié le 23 Septembre 2011 par joe Bassin
J'ai foulé les hautes fougères le souffle coupé. Tout près de moi un tourbillon de sang de peur et de mort réjouissait un grand équipage en costume rouge et noir . L'Hallali La poursuite peut ainsi durer plusieurs heures jusqu'à ce que la cible soit contraint...
Publié le 22 Septembre 2011 par joe Bassin
Des Ombres furtives , des baisers silencieux , des couples enlacés dans l'invisible pour le grand bal muet
Publié le 21 Septembre 2011 par joe Bassin
2 j'avais perdu toutes mes illusions dans ce bourbier, ce noeud de vipères entrelacées et cruelles. 3 Je ne récoltais que des pensées douteuses et malheureuses. 4 et fin Je me penchais trop souvent sur mon cas