... Comme j'ai épuisé toute ma réserve de rêves il ne me reste plus que le silence.
j'avais hissé un drapeau imaginaire, flottant dans le ciel au milieu des hirondelles, j avais imaginé un étendard cousu d'or et de lumières pour un pays qui n'existerait jamais.
Publié le 20 Septembre 2011 par joe Bassin
... Comme j'ai épuisé toute ma réserve de rêves il ne me reste plus que le silence.
Publié le 18 Septembre 2011 par joe Bassin
. De compagnons de voyage bien étranges en contrées mystérieuses traversées dans le brouillard de gares grises en quais humides, nous serons cependant contraints de descendre au terminus
Publié le 18 Septembre 2011 par joe Bassin
Un petit monde agité et silencieux habitait les tiroirs de sa mémoire. Des armées muettes de souvenirs engloutis, de hauts et de bas, de baisers fougueux et de morsures venimeuses..
Publié le 17 Septembre 2011 par joe Bassin
j'avais hissé un drapeau imaginaire, flottant dans le ciel au milieu des hirondelles, j avais imaginé un étendard cousu d'or et de lumières pour un pays qui n'existerait jamais.
Publié le 16 Septembre 2011 par joe Bassin
Le chat suivait son ombre du regard certaines nuits en essayant vainement d'aller à sa rencontre. Puis il s'endormait à mes pieds, emerveillé et apaisé , ses pattes menues dans ma main chaude
Publié le 14 Septembre 2011 par joe Bassin
Elle prenait toujours des détours, de longs et grand détours pour se rendre à la messe.La médaille de la vierge nichée au creux de son cou .Puis comme un grand oiseau triste elle allait s'asseoir , au fond, près des cierges enflammés
Publié le 14 Septembre 2011 par joe Bassin
Il parcourait les champs en tentant de ramener à la raison moutons ,mouches et grenouilles, dans une langue venue d'ailleurs, de si loin derrière son coeur .
Publié le 13 Septembre 2011 par joe Bassin
Les cris de ses enfants l'exaspéraient .La vie aussi... Seule l'idée de son malheur , de sa souffrance collée avec, la calmait un peu.
Publié le 11 Septembre 2011 par joe Bassin
A toutes ces petites nuits caressées par l'infini sombrant trop vite dans l'oubli Édouard Chimot La nuit
Publié le 11 Septembre 2011 par joe Bassin
il aimait les petits baisers nichés au creux du cou, les caresses matinales encore endormies et se promener avec elle, main dans la main, dans les magasins. Sa femme détestait ça.