La marche silencieuse du temps abimerait ses derniers beaux restes La vieille aguicheuse ne ne pavanerait plus que devant le miroir doré de sa chambre.

Il souriait en marchant pieds nus, il aimait les voitures de sport et l'argent.Il prétendait communiquer avec les forces invisibles.C'était une sorte de gourou autoproclamé et trop parfumé qui la rendrait folle et servile

Paul den Hollander, from “Moments in Time” A pas menus . Comme ceux de toutes ces ombres autour de moi et de l'automne qui pointe le bout de son nez sous les feuilles déjà mortes des marronniers...

Le souvenir de ses courses joyeuses dans les champs couverts de rosée et baignés par la lumière du matin lui faisait parfois monter les larmes aux yeux

Quelques notes de son parfum au muguet annonçaient son arrivée.Une arrivée sur la pointe des pieds.Puis nos deux regards se perdaient l'un dans l'autre , pour une communion cachée à peine troublée par la joie de son chat blanc

.....Il avait tatoué sur ses mains de grands yeux qui ,avec le temps,larmoyaient sur ses lignes de vie et de chance. Comme deux invisibles boulets entravant son destin

je suivais du regard les rigoles tracées sur son visage alors que le sien etait déja dans l'autre côté avec les fleurs et les oiseaux

Les reclus suppliaient le ciel, derrière le haut mur en vociférant pendant que la pluie déposait une petite armure sur les vêtements du passant.

l'amour donné puis repris par la vie . Des 15 Aout qui se suivent sans jamais se ressembler, comme un chapelet que l'on egrene sans trop comprendre pourquoi.

Pour l'amadouer, il fallait une notice, un manuel d'utilisation•Mais les femmes ,qui en étaient folles, lui passaient tout à ce vieux bébé .