La bonne odeur du pain grillé , du café qui coule, deux oiseaux en fusée dans le ciel, la pluie par petites gouttes celèbrent normalement la fin d'un étrange cauchemar nocturne
j'avais hissé un drapeau imaginaire, flottant dans le ciel au milieu des hirondelles, j avais imaginé un étendard cousu d'or et de lumières pour un pays qui n'existerait jamais.
Publié le 31 Mai 2011 par joe Bassin
La bonne odeur du pain grillé , du café qui coule, deux oiseaux en fusée dans le ciel, la pluie par petites gouttes celèbrent normalement la fin d'un étrange cauchemar nocturne
Publié le 29 Mai 2011 par joe Bassin
Dévorer les kilomètres aveuglé par la peur et les phares, le coeur en flammes sous la chemise alors que la radio egrène les mauvaises nouvelles avec une joie apparente dans la voix des journalistes énervés
Publié le 29 Mai 2011 par joe Bassin
Une chorale endimanchée un samedi dans une petite église, j'étais assis sous la statue de Sainte Rose et ma voisine sentait le hareng fumé...
Publié le 28 Mai 2011 par joe Bassin
Doux, violent comme un amour mort né dans une chambre d'hôtel un soir de printemps pluvieux,de roses deja fanées, et de vêtements froissés
Publié le 27 Mai 2011 par joe Bassin
Garder deux ou trois projets secrets boire deux ou trois grands verres d'eau d'un trait et se retrouver au sommet
Publié le 26 Mai 2011 par joe Bassin
Comme c'était son anniversaire, on a bu un peu de champagne en essayant de deviner son avenir dans les cartes. Puis elle dansé comme une folle dans le salon avant de s'effondrer dans mes bras en un bruissement d'ailes l
Publié le 25 Mai 2011 par joe Bassin
S'évanouir dans un champ d'étoiles des rubans accrochés au poignet , passer pour fou
Publié le 24 Mai 2011 par joe Bassin
je te connais obscurément petite étoile palpitante et récalcitrante mais, chaque nuit, tu me hantes
Publié le 22 Mai 2011 par joe Bassin
Il avait glissé quelques billets soigneusement pliés dans l'ourlet de son pantalon , parfumé sa nuque de quelques gouttes d'eau de cologne. Dans le bus des jeunes imbéciles riaient aux éclats ,deux femmes conspiraient dans l'allée centrale. Encore deux...
Publié le 21 Mai 2011 par joe Bassin
I Elle amait bien la peite croix en or nichée entre les poils de son torse mis en valeur par une chemise largement ouverte, il aimait bien son parfum et l'idée qu'elle n'avait certainement pas mis de culotte. Il y avait un livre d'helene Sturm ouvert...